SINNER

  Sinner est unique. Un mélange d’héritage religieux, d’espaces feutrés et de volumes spectaculaires.
Opposant les lignes radicales aux volutes suggestives, un sens de l’esthétique brute aux atmosphères les plus enveloppantes. Fidèle à sa signature, l’architecte d’intérieur Tristan Auer déjoue ici les modes et provoque la surprise jusque dans les moindres détails. De la langueur électrique du restaurant aux chambres, inspirantes et inspirées, des couloirs sombres éclairés à la lanterne au concept-store hébergé dans la crypte. À l’image du spa, mystérieux, inspiré des thermes romains. Comme un secret bien gardé, caché derrière une lourde porte qui invite à pénétrer dans un clair-obscur, intimiste, secret, et qui n’emprunte à l’atmosphère monacale que les effluves d’un parfum d'interdit. À l’image aussi des vitraux et d’une bande-son mystique qui viennent un peu partout contredire les codes opulents d’un velours, d’un drapé ou d’un miroir. Sinner inaugure un nouveau chapitre parisien, libéré de tous les standards.
S’adressant aux esthètes, aux investigateurs urbains et aux flâneurs singuliers, curieux de découvrir une autre page de l’hôtellerie de luxe, Sinner a su s’approprier l’héritage du Marais - ecclésiastique, architectural, créatif et avant-gardiste - en cultivant une identité disruptive. Sinner y dévoile les codes d’une hôtellerie exigeante : excellence, disponibilité, sens du détail et un service sincère. C’est un hommage au quartier et un clin d’œil aux jours heureux, à l’insouciance des années 70 et aux heures incandescentes à venir.